… Et les voleurs se mirent à crier : aux voleurs !

Une rumeur nous revient, portée par les vents de Saint-Gély-du-Fesc : on aurait piqué dans la caisse !

… Oui ! On aurait piqué dans la caisse et les « sauveurs » s’appelleraient « J’ai rendez-vous avec vous », cette bande organisée qui, non contente de nous voler le festival Brassens de Saint-Gély, se justifie aujourd’hui par rumeurs interposées, soigneusement distillées et toutes plus malveillantes les unes que les autres. N’y aurait-il qu’une seule personne pour le croire, je tiens à dire ici, haut et fort, que, non seulement il n’y a rien de vrai dans cette rumeur, mais qu’au contraire, depuis 2006, l’Acte Chanson a toujours tenu financièrement le festival, payant les factures, épongeant les déficits, bouchant les trous, renonçant même parfois à facturer certaines de ses prestations…

Oui ! Sans nous le festival Brassens de Saint-Gély n’aurait jamais existé.

D’ailleurs chacun peut en juger.

En effet, à l’inverse de cette pratique de la rumeur, nous avons au contraire toujours joué cartes sur table, publiant par exemple dès le mois de novembre 2013 les comptes du festival qui font apparaître la dette de « J’ai rendez-vous avec vous » à notre égard… Car cette dette existe bel et bien. (Voir le dossier « La vérité sur le festival de Saint-Gély » sur ce même blog).

Alors ? Ceci explique-t-il cela ?

Veut-on à tout prix masquer par exemple que, plusieurs mois avant le clash de décembre 2013, dès le début de l’existence de « J’ai rendez-vous avec vous », le trésorier (moi-même) ne recevait aucun des documents bancaires attestant des dépôts, des retraits, etc… Que le président de l’association faisait lui-même, sans en référer à quiconque, des factures qu’il adressait aux communes, rédigeait des demandes de subventions sans qu’aucun membre du bureau soit mis au courant ni de la demande, ni de son contenu… J’en passe et des pires.

Toujours est-il qu’à ce jour, non seulement « J’ai rendez-vous avec vous » nous a volé le festival Brassens 2014, mais nous doit aussi quelques milliers d’euros pour éponger ses dettes de 2013 à notre égard… Et ceci n’est pas une rumeur !

 Jacques Palliès

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