Après la colère, la tristesse, le désespoir… C’est, parait-il, les étapes logiques qui mènent à faire un deuil!
Le deuil de la chanson française qui a inscrit ses lettres de noblesse dans le monde entier.
Bien sûr, la chanson a toujours existé et doit toujours exister dans tous « ses états » : légère, grave, tendre, insolente, drôle, dansante, coquine, révoltée, poétique…. empruntant aux hommes de cette planète leurs sentiments, leurs musiques, leurs états d’âme !
Bien sûr, les maisons de disques sont surtout là pour faire du fric, pas de l’art!
Bien sûr, les médias sont là pour relayer l’idéologie dominante, les modes, les intérêts des uns ou des autres.
Tout cela, on le sait!
Mais trop c’est trop!!!!!!!!! Que dans un « canard » un journaliste(?) écrive qu’un Laurent Montagne « s’inscrit dans le droit fil » d’un Leprest ou d’une Barbara… c’est à pleurer! Se moque-t-il du public ? ou de Leprest?
Renvoyons les journalistes sur les bancs de l’école analyser les grands auteurs, ou bien n’ouvrons plus jamais un journal de peur d’être contaminé par le crétinisme ambiant qui semble de plus en plus devoir y régner en maître.