Crying Freeman vous connaissez ? C’était d’abord un manga, puis c’est devenu un film racontant les aventures d’un tueur à gages qui verse une larme après avoir occis ses victimes… Cela ne vous rappelle rien ? Dernièrement Georges Frêche déclarait qu’en politique il fallait tuer ( !) et que lui il tuait le premier, même si après il versait une larme ( !)… Vous l’avez compris : le président de la Région se prend pour Crying Freeman. Il se voit sans doute déjà sur les écrans ou à la télé. Lorsqu’il parlait de Fabius je suis sûr qu’il voulait dire que si ce dernier avait un visage pas très catholique, c’était comparé à lui-même… Et d’ailleurs je verrai bien Georges Frêche dans un rôle de flic quelque part entre Navarro et l’Homme de Fer…
Oui ! nous avons à la présidence de la Région un grand comédien, comme son copain Depardieu qui fait le soutien-Georges (120 bonnet C) dans la presse. Or si notre Gégé national est un boulimique de rôles et veut tout jouer (de Barbe Bleue à Bernadette Soubirous), notre Jojo régional a le même appétit d’ogre. Tous les deux devaient d’ailleurs se retrouver sur scène dans les Confessions de Saint-Augustin… Mais le spectacle n’a pas pu se faire car tous les deux visaient le même rôle (St Augustin ou les Confessions ?)…
En vérité Georges Frêche qui a plus d’une corde à son arc s’est lancé depuis longtemps dans le spectacle. En tant qu’humoriste il pratique à la perfection le stand up et ses prestations, la plupart du temps retransmises à la télévision, lui valent un succès fou. Il est (presque) de la race des Coluche, Timstit, Bedos, Guillon ou Déproges balançant les blagues les plus grinçantes pour choquer les esprits bien pensants. Par exemple je suis sûr que mon pauvre père qui a passé cinq ans de sa vie dans les stalags, puis à Berlin, en espérant qu’une bombe ne lui tomberait pas sur la tête, a dû se retourner de rire dans sa tombe à l’écoute de la vanne sur les prisonniers de guerre français allant en Allemagne pour sauter les gretchens…
Quoiqu’il en soit Martine Aubry commet une grosse bourde en ne reconnaissant pas Frêche comme représentant du Parti Socialiste, car il est d’évidence un potentat soutenu par des potes en tas (autour de l’association « Touche pas à mon potentat »). Or on se rend compte en le voyant marcher qu’il est de plus en plus un potentat impotent… Alors comment pouvez-vous oublier chère Martine que l’impotent c’est la Rose ?
Ce texte est vraiment très bon…Bravo…
Je demande à l’auteur d’en utiliser quelques fragments…please!rv
MDR, tu m’impressione chèr Jean-Pierre, emmene Mr frèche faire une randonnée et tu verras ce qu’il deviendra.