Le chef d’œuvre de la littérature universelle et nobélisable vient d’être publié. Il s’agit du livre de Valery Giscard d’Estaing : « Le président et la princesse ». L’auteur, déjà académicien français grâce à son merveilleux ouvrage « Le passage » accueilli par les éclats de rire de la critique et qui a longtemps concurrencé les œuvres impérissables de Delly et de Max du Veuzit, l’auteur, disais-je, nous livre un scoop : il a eu une idylle avec Lady Di ! La princesse, chaude comme une potée auvergnate, entre un palefrenier, un officier de sa majesté et quelques autres, aurait fait un remake de « l’amant de Lady Chatterley » avec ce presque septuagénaire – à l’époque – à la bouche en cul de poule. Sans doute, pour la circonstance, l’ex-président avait-il mis un kilt pour faire admirer ses jambes qu’il a admirables comme on dit au loto quand le nommeur annonce : 11, les jambes de Giscard !
… La nuit d’amour dut être torride car je suis sûr qu’en susurrant à l’oreille de la princesse : « Lady Di ma doudou che vous j’aime – plop – (pas facile d’imiter Giscard en écrivant) il lui jouait, comme dit Pierre Perret, « de l’accordéon sur les hanches. »
Alors, vérité vraie, ou phantasmes d’un vieillard bientôt grabataire – Gistain d’Escarres ?… Dans tous les cas, faire un roman là-dessus, c’est pas terrible, (c’est même d’une élégance d’académichien) et en plus on s’en fout !
« Jojo se prenait pour Voltaire, et Pierre pour Casanova… » chantait Jacques. Aujourd’hui Giscard se prend pour Pierre… Décidemment les bourgeois, plus ça devient vieux, plus ça devient… Mais je sais maintenant ce que Giscard a vraiment dit à Mitterand à la télévision :«Vous n’avez pas le monopole du cul !»
Merci Jean-Pierre pour ce petit bijou, et je l’apprécie d’autant plus que (sans avoir lu ton billet) j’ai intégré dans l’intro de ma chanson « Lady Diana » et en imitant Giscard, sa célébrissime intro à ses discours « Bonchoir madame , bonchoir mademoijelle et bonchoir monfieur, chclock » t’as raison c’est pas évident les bruitage à l’écrit. Vraiment je suis trop mort de rire. Bises, à plus, Jean-Paul
Qu’est-ce que je prends dans la gueule, en ce moment, en tant qu’auvergnat. Après Brice, JP…