Bien sûr, il y a eu la mort de Jean Ferrat et le nouvel élan autour de ses chansons; là, on fête le dixième anniversaire du Printival; un peu partout on salue quelques initiatives chansons comme au théâtre Gérard Philipe à Montpellier, ou à Mèze avec l’assosThau’mate… et les interrogations – ô combien légitimes !- se multiplient sur la raison d’être de la grande salle Arena… Nous parlons musique, nous parlons chanson; nous nous réjouissons de telle affluence, motivée pourtant essentiellement par la nostalgie. Nous regrettons les échecs quand la création pure est seule en jeu. Nous essayons patiemment de construire un nouveau public, attentif, responsable, proche… et en quelques minutes la télé balaie tous les efforts, toutes les patiences…
Pas facile d’être un militant culturel aujourd’hui, hors des chapelles et/ou des instrumentalisations diverses (marchandes ou politiques, n’ayons pas peur des mots !)
Pas facile non plus d’être un artiste pour qui la carrière est avant tout la reconnaissance de son métier, de son savoir-dire, ou faire, de passeur de sens et d’émotion… Pas facile quand tous les budgets se resserrent, quand une énième tentative de mise au pas de la télévision publique est en cours, quand la mission principale aujourd’hui confiée au Ministère de la Culture est avant tout de réduire les coûts, d’ignorer le service public.
Une fois encore la Culture est en danger et il faut encore se battre pour refuser la régression, faire reculer le gouvernement sur ses projets,…, et à l’inverse obtenir une véritable loi d’orientation et de programmation pour la culture et la création. Le 29 mars dernier déjà nous étions des milliers dans toute la France mobilisés pour ce combat… Une nouvelle étape est annoncée pour le 6 mai prochain. Nous en serons !
Appel : Hommage à Jean Ferrat
Vendredi 16 avril à 20h30 à la MPT Mélina Mercouri
Nul sans doute ne s’attendait à un tel écho. Ferrat disparaissait et des millions de gens en France exprimaient leur chagrin ; tous les médias (de droite comme de gauche) lui donnaient un retentissement national… et rares étaient les artistes, les gens de culture, qui ne montraient leur désarroi… Certes il y avait peu de jeunes dans tout ça et les hérauts du prime time (à l’exception de Drucker) ne se bousculaient pas pour apparaître… On entendait à nouveau des gros mots : engagement, parti communiste, fidélité, humanité, poésie, on redécouvrait des chansons (mais oui ! des chansons !) qu’on était capable de chanter en chœur, et presque en entier, à des milliers de voix. Le visage de Jean Ferrat surgissait partout et on se rappelait ces drôles de moustaches ramenées de Cuba…
Alors vous comprendrez que c’est par pur opportunisme (bien sûr !) que l’Acte Chanson vient de décider d’appeler tous ceux qui le souhaitent : artistes, responsables culturels, public… à s’associer à l’hommage qui lui sera rendu le vendredi 16 avril prochain, à partir de 20h30, à la MPT Mélina Mercouri…
Oui, si vous avez une chanson (ou 2 ou 3 qui sait ?) à proposer, une anecdote, un souvenir, un poème à partager, votre place sera à nos côtés… Tout simplement pour dire ensemble en quelque sorte que les mots de Ferrat, ses idées, ses enthousiasmes comme ses colères, ont encore leur place parmi nous et qu’avec lui ce n’est pas un monde qui vient de disparaître mais, encore et toujours, un espoir qui naît.
Artistes, militants culturels, professionnels du spectacle, public, si vous voulez vous associer à cet hommage, contactez-nous au 04 67 04 08 61, ou sur internet www.actechanson.fr
Qu’est-ce qu’elle a ma gueule ?
Après avoir fortement agacé le clintonien mais néanmoins socialiste Mr DSK, l’humoriste Stéphane Guillon s’est attiré les foudres du peu clintonien et plus du tout socialiste Mr Eric Besson, à un point tel que le PDG de Radio France, Mr Jean-Luc Hees a présenté ses plus obséquieuses excuses à la victime. C’est un peu comme si le ministre de l’Intérieur envoyait une lettre d’excuses à des manifestants molestés par des CRS…
« Sur cette radio » écrit le PDG « on n’attaque pas les gens sur leur physique ». Et effectivement il préfère laisser ça à certains hommes politiques qui traitent Sarkozy de « grand Mamamouchi à talons compensés » et se moquent de la « tronche pas catholique » de leur copain… Il est vrai que dans ce dernier cas il s’agit de maïeutique, et que l’accouchement des âmes est réservé aux psychanalystes et aux politiciens, pas aux humoristes, qu’on se le dise !
En fait le plus choquant dans cette histoire c’est que présenter des excuses en disant qu’il est impensable et vil d’attaquer les gens sur leur physique, cela peut signifier que Mr Besson a effectivement un physique de fouine au menton fuyant et qu’il est le portrait robot d’un traître à la Iago, car sinon les propos incriminés auraient été simplement qualifiés de… diffamatoires.
En conclusion je dirai que si Stéphane Guillon se fait virer de la radio, il pourra toujours se présenter aux élections régionales en Languedoc-Roussillon, et qui si Eric Besson veut encore se recycler, je lui suggère cette fois-ci un recyclage plus artistique que politique en devenant chanteur. Le répertoire de Johnny lui conviendrait à merveille, particulièrement sa chanson « Qu’est-ce qu’elle a ma Gueule ? » !
Jean-Pierre Leques
Même si vous vous en foutez…
Et si on avait besoin d’une presse véritable ? De journalistes à la hauteur prêts à toutes les vraies investigations ? D’organes (c’est vrai aussi pour les radios et les télés) ayant banni la complaisance et la courtisanerie pour l’exercice assumé d’un métier difficile, exigeant, et parfois même dangereux ?… Je laisse à d’autres le soin de filer la métaphore dans les domaines (extrêmes !) de la politique et du social. Y’a de quoi faire !… Qu’on me permette seulement de m’interroger sur le domaine artistique et culturel…
De quel droit ? Je pourrais simplement répondre : celui du citoyen, mais je me permets de rajouter que j’ai été moi-même journaliste pendant plus de vingt ans, et que, ce blog en est le témoignage quotidien, je suis un gros consommateur de presse écrite (beaucoup moins d’audiovisuel) et pas seulement à propos de chanson d’ailleurs, même si c’est cela qui me passionne et m’amène aujourd’hui à ces interrogations.
En vérité, depuis plus d’un an aujourd’hui, je fais en effet ici une revue de presse quotidienne : « la revue chansons du grand Montpellier » où je collecte systématiquement tout ce qui concerne la chanson dans notre région : grands et petits événements, vedettes et anonymes, infos artistiques ou « people », etc… Or quelle leçon (hélas !) puis-je en tirer ? Que cette lecture, cet effort presque compulsif, est impitoyable et que, sur les quinze derniers mois, c’est encore plus terrible : la chanson aujourd’hui n’existe que promue par les marchands, « produite » comme on dit… Ni passion, ni métier, ni art, la chanson se juge à la seule aune de l’argent-roi,…, et les résultats ne se sont pas faits attendre : hors les articles de complaisance pour les vedettes du showbiz, seules quelques « étoiles » locales intermittentes ont droit à la plume vaselinée des folliculaires de service… Le reste n’existe pas !
Et bien, l’envie me taraude de leur rendre désormais la pareille et de le dire. Car comme on le chantait en mai 68 : « Même si vous vous en foutez, chacun de vous est concerné. »
Vive la chanson !
Jacques Palliès
La mort de Jean Ferrat
Brutale, la nouvelle vient de nous parvenir : Jean Ferrat est mort, décédé à l’âge de 79 ans à l’hôpital d’Aubenas. Sans doute en saurons-nous davantage dans les prochaines heures et les prochains jours, mais le fait est là qui nous remplit d’une profonde émotion.
Car ma route, notre route d’artistes, restera marquée à jamais par le poète vivant en Ardèche, lui qui nous avait encouragés lorsque nous avions choisi de lui rendre hommage à travers une trentaine de ses chansons… « C’est toujours un plaisir pour moi d’apprendre que mes chansons vivent leur vie encore et encore » nous écrivait-il alors… Oui ! Bien sûr il restera de lui toutes ces chansons qui ont accompagné nos vies depuis près de 60 ans et qu’on redécouvre chaque jour comme des évidences…
Il restera aussi de lui une sorte de conscience que nous étions sûrs de retrouver à chaque coup dur, à chaque moment important… Et jusqu’à cet appel récent à soutenir le Front de Gauche aux élections régionales…
Cet homme sans doute n’était pas parfait, mais il a cotoyé tant de choses, affronté tant de périls, tant subi l’insulte et le dénigrement qu’il a su transformer en leçons de vie, que je (que nous) ne pouvons en retenir que le merveilleux de son chant. Quelle leçon pour un artiste que d’avoir su ainsi transmettre en poésie (en chansons) les cris du plus grand nombre ! Cela seul compte et comptera.
Extraits de « Un amour cerise » à écouter dans notre rubrique les vidéos
La chance historique d’un lieu entièrement dédié à la chanson sur Montpellier
Les lecteurs de ce blog le savent, la chanson souffre gravement, et ce depuis plusieurs années, de l’absence d’un lieu dédié sur Montpellier. Or nous venons d’apprendre par la lecture de la presse locale (Hérault du Jour, Midi Libre) que le théâtre Pierre Tabard se retrouve une nouvelle fois à la croisée des chemins concernant son avenir… Nous pensons que (tous droits et intérêts privés étant respectés) cela peut-être une véritable chance pour la chanson et nous venons d’ailleurs d’adresser le courrier suivant à l’adjoint chargé de la culture, Mickaël Delafosse :
»Suite aux informations parues dans la presse, l’Acte Chanson et moi-même sommes prêts à relever le défi d’animer et gérer un lieu entièrement dédié à la chanson à Montpellier.
Montpellier souffre beaucoup de l’absence d’un tel lieu (seul le théâtre Gérard Philipe aujourd’hui…) et, pour l’avoir expérimenté, je sais que Pierre Tabard (Lakanal !) peut être un véritable écrin pour la chanson… et les arts de la proximité (conte, poésie).
Nous sommes donc candidats pour un lieu ouvert sur la ville et ses artistes, mais aussi attentif à ce que la chanson (dans toute la francophonie), le conte et la poésie peuvent apporter de nouveau et de fort dans la création artistique actuelle.
Bien entendu nous avons déjà en tête les grandes lignes d’un tel projet dont on peut par exemple imaginer une direction artistique associant un créateur expérimenté et un jeune issu de la grande mouvance créatrice de ces dernières années,…, un lieu inscrit dans les grands réseaux de la chanson française (hors des circuits de la variété), avec une priorité donnée aux créations régionales, un soutien résolu aux aventures créatrices qui associent les arts, mais aussi une large politique d’accueil…
Tant pour la gestion que pour l’administration quotidienne et la communication, le projet pourrait s’appuyer sur l’équipe mise en place au fil des années par notre association. De même sur le plan technique…
Dès aujourd’hui nous prenons contact avec le propriétaire du bail pour lui exposer nos idées et nous souhaitons que la ville notamment mais aussi l’ensemble des structures culturelles institutionnelles nous apportent leur soutien.
Comme nous le disions en commençant ce courrier : c’est une chance historique ! »
N’hésitez pas à dire votre soutien à ce projet.
Jacques Palliès
Tout ce qui est dégueulasse…
Bien sûr on aurait dû se méfier, se souvenir que Klaus Barbie (Klaus Barbarie !) était le pire des salauds malgré son nom de poupée… Mais non ! On s’est dit : c’est la fameuse exception, celle qui confirme toutes les règles, Klaus est un très joli prénom. Dans l’est, la Santa Klaus c’est la fête des cadeaux. Klaus c’est Saint Nicolas au prénom plein de promesses, surtout électorales… Vous savez, ce père Noël qui récompense en même temps les enfants sages et les banquiers, celui qui sort à la fois les jouets de sa hotte et les milliards de son chapeau… Et pourtant, Klaus c’était aussi cette tempête qui avait ravagé le sud ouest, saccagé toute une région… Oui ! on aurait dû se méfier…
Xynthia, elle, avec son prénom exotico-érotique, nous faisait rêver. D’où venait-elle ? On l’imaginait fille du Brésil (prononcez Chintia, comme chaleur), partie des favellas pour danser la samba et le be bop à Lulla à moitié nue au Carnaval de Rio, puis nous mener par le bout de tout jusqu’aux confins de l’extase la plus sauvage… On se voyait prêt à tout quitter, pour elle et sa peau pain de sucre… d’orge.
Hélas, mille fois hélas, la mariée était trop belle : Xynthia n’était pas une promesse de plaisirs des sens, c’était une certitude de deuils et de malheur. C’était une harpie, une gorgone, une tueuse. Elle a, la semaine dernière, tué plus de 50 personnes dans l’ouest de la France, noyant tout sur son passage…
Comme l’écrit Allain Leprest : Tout ce qui est dégueulasse porte un joli nom !
Y’a des jours comme ça !
Oui ! Y’a des jours comme ça ! Tu te réveilles reposé après une bonne nuit de sommeil. Dehors ça giboule toujours, mais il fait supportable : le printemps ou presque.
Ton premier journal te rappelle que l’équipe de France de football a été ridicule la veille au soir face à l’Espagne, mais tu supportes. (Après tout que les « stars » du foot soient copieusement sifflées, ça rassure : faut qu’ils le gagnent leur pognon… Et finalement dommage que ça n’arrive pas plus souvent dans le showbiz aussi)…
Dans le dedans de ta tête tu te dis que ça va être le moment d’écrire à Michaël Delafosse, l’adjoint à la culture de Montpellier. Que, sans être énervé ni méchant, tu vas pouvoir lui dire, calmement, que ce qu’il fait ne va pas. Exemples : Ta subvention annuelle ? sucrée pour plus de la moitié ! Tes initiatives militantes (Voix Libres, la chanson d’auteur salle Molière pour la fête de la Musique, Chansons sous les étoiles à Dionysos…) ? liquidées ! (Et je ne parle pas de notre long combat pour accueillir de la chanson d’auteur à Montpellier… Y’a plus de salles dignes de ce nom dans la ville)… Tes créations enfin ? Plaisanterie, la ville n’a pas vocation à soutenir la création artistique, même en aidant simplement à la diffusion. Rien de méchant quoi ! Juste la vérité… peut-être même à discuter.
Et puis, patatras ! Fin du « petit beau » sur la ville. Voilà la tempête qui se lève : Xynthia ! ou presque !
Première alerte, un titre (j’ai la faiblesse de commencer toutes mes journées par la lecture attentive de la presse) : Le monde culturel derrière Frêche
avec aussitôt le rappel de la liste complaisante de ceux (les nantis !) qui le soutiennent et jusqu’au nouveau… CRACC bien sûr qui, depuis plusieurs jours déjà, te pose un gros problème puisque ton syndicat en est partie prenante, que nous avons même annoncé ici sa naissance au vu de sa plateforme revendicative,…, et qu’il s’est finalement révélé n’être qu’un sous-marin au service du bientôt ex-président de la Région. Les responsables élus de ton syndicat vont-ils réagir ? Hélas ! tu en doutes soudain, et les battements de ton coeur s’accélèrent même quand tu vois un peu plus loin dans un article sur les nouvelles tronches des élections régionales
les visages de tant d’opportunistes, calculateurs, hypocrites, que tu as croisés depuis tant d’années sur ta route… Quand tu lis ailleurs que les idées que tu défends sont aussi relayées par des gens pour lesquels tu n’as aucun respect, bien au contraire, et que tu t’aperçois qu’au fond de toi, tu rumines depuis plusieurs heures (tu n’en avais même pas conscience puisque tu as dormi) qu’une fois encore « on » veuille du tout festif
pour conclure la campagne et que c’est un recul culturel. (Oui ! Je hais le tout festif
dont l’aboutissement logique est Ricoune ou Rémi Gaillard…)
Enfin, crotte sur le caca, tu mesures une fois de plus qu’alors que le spectacle sur lequel tu bosses depuis des semaines, des mois, arrive à maturation (l’avant-première est dans trois jours) il ne mérite que quelques lignes, autant dire rien, dans les médias…
Stop ! Tirons l’échelle ! La boucle est bouclée, n’est-il pas ?
… Au fait, rassurez-vous : je ne retourne pas me coucher. J’ai un billet d’humeur à publier… et des batailles à mener !
Dites : Culture ! (2)
N’en doutez pas : ça discute ! Et même si les termes du débat peuvent parfois paraître faussés (manipulation, clientélisme), d’une certaine façon : ça avance ! Toute discussion est bonne à prendre, même si parfois elle semble mettre en cause des acquis dont on ne pouvait imaginer la perfectibilité, des structures apparemment intouchables (presque par définition) et jusqu’à des personnalités qui se retrouvent sur la sellette alors que leur dévouement est total et reconnu…
Ainsi va la vie en période électorale et on s’en réjouira. Rien de pire que les dogmes, les royaumes, les dieux !
Alors voici encore quelques pièces personnelles mises au dossier Culture (je ne recule pas devant certaine majuscule).
Parce que les fondements d’une politique culturelle sont pour moi ce qu’ils sont (voir le billet précédent), je m’inscris résolument contre les politiques d’excellence, pour la valorisation des cultures de proximité, contre la marchandisation et la soumission aux industries du divertissement, pour l’inscription de la Culture dans l’économie sociale, pour la mise en œuvre donc d’un véritable service public qui non seulement s’adresse au plus près des gens et des besoins, mais favorise activement la création et redonne au spectacle vivant une place légitime et équilibrée (à l’égard par exemple de la mise en valeur de notre patrimoine…). Tout ceci dans la reconnaissance du travail des professionnels et l’évidence des pratiques amateurs…
… Mais oui ! Je vous entends : il y a plein d’autres choses à dire !
Dites : Culture !
Les périodes électorales ont ceci de « bon » qu’elles permettent (malgré tout) de se poser un certain nombre des questions habituellement occultées ou considérées comme résolues par les élus…
Ainsi les élections régionales de mars 2010 qui (re)mettent en avant les questions culturelles. Contrairement aux départements par exemple les régions ont en effet compétence en la matière et ne se privent pas d’en user (entre 2,5 et 4,5% des budgets régionaux lui sont consacrés)… En Languedoc comme ailleurs.
M’est-il possible, au royaume des évidences assénées, de redire ici ce que devraient être les fondements d’une politique culturelle ?
1- Considérer la culture comme un droit de l’homme d’aujourd’hui pour son épanouissement personnel et son inscription dans la société
2- La culture doit s’affranchir de deux tutelles : l’argent qui fausse les perspectives et… la « politique » qui tend à instrumentaliser les élans
3- Même dans son acception la plus large, priorité absolue doit être donnée à la création, à la recherche
4- Dans le rapport au public il s’agit de ré-inventer un échange et un partage qui ne soit pas de stricte consommation
5- Les politiques culturelles chargées de mettre en œuvre ces fondements doivent être définies et menées en collaboration avec l’ensemble des acteurs culturels.
… Macarel ! on est loin du compte !