On sait maintenant beaucoup de choses sur Rachida Dati : son père était maçon et il a dû encouler beaucoup de béton ! Pour gagner un peu d’argent de poche, elle a travaillé comme matrice de colonie de vacances… A la rentrée elle se faisait emboucher pour faire la couillette de pommes, travaillant même sous les cieux les moins cléments, couverts de cunilingus… Chez elle il y a un pin et elle aimerait bien dormir sous son ombre, mais elle a peur qu’une pine lui tombe dans la bouche. Selon son point de vulve le seul musicien digne de ce nom est Beetauvent… Ses goûts culinaires sont simples : elle adore par exemple les craquettes de pommes de terre. Ses distractions préférées sont d’assister à un match de foutre et, dans les villes portuaires, de regarder les bateaux en partouze pour les pays lointains… Elle est aussi très coquette et va souvent dans les salons de coiffure se faire faire des spermanentes. Elle aime porter des colliers de tarlouze, même de culture… Elle est une militante acharnée du don d’orgasme. Elle aime enfin à rappeler qu’elle fut une bonne ministre et que les Français l’ont vue à l’oeuvrette…
Quant au célèbre lapsus linguae qui vient de la remettre à la une des médias, il est évidemment et seulement dû au fait qu’elle a parlé trop vite, presque vaginalement, sans réfléchir… A moins qu’elle n’ait bu ce jour-là une bouteille de bon vin, d’affellation contrôlée…
Heureusement qu’on ne la rencontre pas sur les verges fleuries du Merdanson ou sur la pute Montmartre, sur le couille de baiseur-baiseur et demie, en (arrière) train jouer au penis avec des rutbimen !
Ca pourrait faire jaser !
On devrait orgasmiser un con court… ?